Résumé éditeur
Vingt-cinq ans ont passé depuis que Pierre Florelli, le « pitaud », l’enfant de l’assistance publique placé dans une ferme de la Sarthe, a « décroché » la bourse qui lui a permis de devenir maître d’école, puis professeur en Sorbonne. Et depuis qu’il a aimé Rosine, à présent l’épouse du notaire de Sanluc, Me Grimaud, et la mère d’une jeune fille, aussi belle que brillante, qui prépare le concours d’entrée à l’ENA. Lorsque les chemins de Rosine et de Pierre Florelli se croisent de nouveau, c’est toute une époque qui, brusquement, revient à la mémoire du Pitaud. Ce sont des émotions que l’on croyait oubliées. Et des secrets qu’il eût mieux valu laissé enfouis. Des secrets qui vont plonger la petite ville de Sanluc dans la stupeur…
★★☆☆☆ Bof ! Je n’ai pas vraiment apprécié ce livre.
Critique
La saga du pauvre orphelin se poursuit, et le charme n’opère plus vraiment, car trop de réussites pour les personnages principaux tuent l’effet escompté : un lecteur épanoui et heureux.
Malgré une belle plume, et l’envie de retrouver les attachants personnages, ce roman du terroir m’a agacée dès les premières pages.
Où sont passés le maître d’école Hussard de la République et son élève, mi- frondeur mi- canaille qui m’avaient tant plu dans le précédent ouvrage ?
Ils ont vieilli, comme son auteur, et cette histoire tourne maintenant au roman d’amour contrarié, à la comédie de mœurs (et de mots) provinciale tirée par les cheveux.
Les retours en arrière incessants, le parcours EXCEPTIONNEL du père comme de la fille m’ont exaspérée ….trop c’est trop !
J’ai dû me tromper, en fait ce n’était pas un roman, c’était un conte fabuleux.