Charlie et le grand ascenseur de verre de Roald DAHL

 

Résumé éditeur

Charlie a gagné la fabuleuse chocolaterie de Willy Wonka, qu’il survole maintenant à bord d’un extraordinaire engin, le grand ascenseur de verre, en compagnie de toute sa famille.

Mais une fausse manœuvre projette l’ascenseur dans l’espace. Un espace qu’ils découvrent peuplé d’être fantastiques et monstrueux, les Kpoux Vermicieux, terreurs de l’univers interstellaire, contre lesquels ils vont livrer une terrible bataille.

Charlie est les héros de  » Charlie et la chocolaterie  » sont de retour dans cette suite échevelée et pleine de fantaisie où se retrouvent le génie et l’humour de Roald Dahl.

★★★★★ Que du bonheur !

Critique

Mais pourquoi mes instits ne m’ont-ils jamais fait découvrir l’univers drôlissime et fantastique de Roald Dahl ?
C’est la question que je me pose depuis le début de l’été avec la découverte de ses récits grâce au succulent hors-série du magazine LIRE.

Avec 200 millions de livres vendus à travers le monde, il est quand même incroyable que je ne parte dans le grand ascenseur de verre de Mr Wonka qu’à un âge adulte avancé !

Comme il n’est jamais trop tard, et que la littérature de jeunesse me séduit toujours autant, je me suis donc embarquée avec Charlie, sa famille          ( constituée presqu’uniquement ) de vieillards et le déjanté Mr Wonka dans l’espace intersidéral pour pouvoir poursuivre les aventures de Charlie et la Chocolaterie visionnées dans l’excellent film de Tim BURTON.
J’ai été enchantée : par le Space hôtel américain démesuré (forcément), par le président des USA borderline (nombreux passages d’anthologie), par les terribles Kpoux Vermicieux (à dessiner pour le plaisir), par des pilules pas si alléchantes que ça et, enfin, par le pays de la Terre des Moins (à utiliser absolument si un Sapiens est en train d’apprendre la soustraction à moins d’un kilomètre de chez vous).

J’ai savouré l’humour très particulier de ces personnages uniques, l’art du dialogue de l’auteur, les situations plus rocambolesques les unes que les autres et les caricatures de certaines fonctions gouvernementales pas piquées des vers.

Je vous en supplie, s’il y a des enfants près de vous, faites-leur découvrir la fantaisie échevelée de cet incroyable écrivain anglais pour qu’ils n’attendent pas l’âge adulte afin de découvrir son univers à la fois magique et moral. S’ils n’aiment pas lire, lisez-leur le texte ils ne pourront qu’être séduits.
La connexion de Dahl avec le monde de l’enfance est réellement unique, mais on peut y plonger, sans réserve, à tout âge quand on a conservé un peu de fantaisie.
La lecture sert aussi à ça, parfois.

 

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