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Remèdes littéraires d’Ella BERTHOUD et Susan ELDERKIN – Juste lire, par Agnès

Remèdes littéraires d’Ella BERTHOUD et Susan ELDERKIN

Résumé éditeur

Que vous souffriez d’agoraphobie, de la crise de la quarantaine, d’une jambe cassée, du hoquet ou d’un chagrin d’amour, soyez rassuré ! Vous trouverez dans ce livre le roman qui vous soignera et remplacera avantageusement toute votre armoire à pharmacie.
Grâce à nos Remèdes littéraires, vous pourrez traiter les pathologies suivantes : abandon, alcoolisme, calvitie, chagrin d’amour, mal de dos, hémorroïdes, hypertension, insomnie, jalousie, maternité, obésité, rhume des foins, solitude, vieillissement… Et bien d’autres encore !
Adapté à la sensibilité française par le journaliste littéraire Alexandre Fillon, ce dictionnaire offre une promenade étonnante dans l’histoire de la littérature mondiale.

★★★☆☆ J’ai un peu aimé.

Critique

Se soigner par les livres, voici une idée qui m’a convaincue de son efficacité depuis la lecture du très bon Les livres prennent soin de nous : pour une bibliothérapie créative de Régine Détambel. Ici, deux anglaises ayant créé ensemble un service de bibliothérapie à la School of Life de Londres, ont sélectionné des centaines d’ouvrages pour aider les lecteurs à soigner par la lecture de romans des pathologies telles que : syndrome prémenstruel, stagnation mentale, rêver d’être un super-héros, manquer de talents de séduction… et d’autres plus sérieux : être zen, se construire, dépression, affronter ses démons, supporter une chimiothérapie …

Le journaliste littéraire Alexandre Fillon, et des libraires français ont enrichi la version anglaise initiale pour que ces remèdes littéraires agissent sur nous comme des vaccins, parce que les livres sont à l’âme ce que les aliments sont au corps. Les libraires, et leurs conseils de lecture, prouvent dans ce livre original qu’ils sont le relais d’une parole guérisseuse et apaisante pour nos nombreux maux – mots douloureux.
Les allers-retours littéraires entre le singulier et l’universel éclairent ainsi nos vies tourneboulées par la maladie et les chagrins.

J’aime picorer dans ce petit mais (trop) dense (près de 700 pages) ouvrage au gré des hasards. Hélas, je lui reproche de trop faire appel à des ouvrages de la littérature étrangère, et d’accès difficile.

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