Résumé éditeur
Mariée de force lors de l’avènement de la Chine nouvelle, la jeune écolière Chow Ching Lie, choisie pour sa beauté exceptionnelle par la plus riche famille de Shanghai, monte à treize ans sur le palanquin fleuri qui la conduira dans sa belle-famille: pour elle, ce sera le palanquin des larmes.
Ecrasée sous la tutelle d’une belle-mère tyrannique, Chow Ching Lie arrivera quand même à devenir une pianiste internationale.
En même temps que son drame personnel elle nous fait vivre à travers ses yeux d’enfant, ses larmes de jeune mariée et ses joies de mère, les bouleversements d’une Chine ancestrale face à la révolution de Mao Tsé Toung.
★★★☆☆ J’ai un peu aimé.
Critique
Le Palanquin des larmes est le récit de la vie de Chow Ching Lie, qui fut fiancée de force à l’âge de treize ans, et eut son premier enfant à quatorze ans.
Le récit, recueilli par Georges Walter, traite de la condition des femmes chinoises pendant la guerre sino-japonaise, la guerre civile, puis l’époque Maoïste.
Ce livre aborde aussi la vie traditionnelle des Chinois de classe paysanne et les problèmes qu’engendre la révolution culturelle dans sa famille.
C’est pas rose tout ça, mais le livre écrit dans un style facile se dévore rapidement… Tant de souffrances pour un seul peuple, ça secoue, même si on savait déjà pas mal de choses là-dessus.
Un témoignage instructif… limite voyeur parfois.