Résumé éditeur :
Juin 2016, la Seine est en crue et Gaspard Neige trouve sur les quais une sirène blessée qu’il ramène chez lui.
Elle lui explique que tous les hommes qui entendent sa voix tombent amoureux d’elle et en meurent, mais, convaincu que son cœur est immunisé depuis sa rupture, Gaspard décide de la garder jusqu’au lendemain dans sa baignoire.
★★☆☆☆ Bof ! Je n’ai pas vraiment apprécié ce livre.
Avis :
Il a beaucoup plu dans ce roman de Mathieu Malzieu.
Alors que la Seine a débordé emportant Paris dans un grand tourbillon avec un triangle des Bermudes entre le Louvre, l’Hôtel de Ville et Notre-Dame, le musicien Gaspard, empêtré dans un chagrin d’amour sans fin, sauve inopinément une (très belle) sirène.
Pas de coup de cœur pour moi (contrairement à son merveilleux « Journal d’un vampire en pyjama »), même si j’ai reconnu (et apprécié) la plume poétique, et sagace du chanteur M.Malzieu.
Ni le sauvetage de la péniche de sa grand-mère décédée sur laquelle officient son père et (entre autres) un zazou ( !), ni son style créatif n’auront permis que je m’accroche à cet opus.
Les « surprisiers » ne m’ont pas amusée, séduite, les musiciens (ou plutôt leurs noms à rallonge) n’ont pas fait titillé ma fibre artistique, moi qui aime pourtant l’imaginaire et son indicible douceur quand ils m’embarquent vers l’au-delà livresque.
Cette fois, je suis restée à quai.
Pas de coup de coeur pour moi (contrairement à son merveilleux « <a href= »/livres/Malzieu-Journal-dun-vampire-en-pyjama/794916″ class= »titre1″>Journal d’un vampire en pyjama</a> »), même si j’ai reconnu (et apprécié) la plume poétique, et sagace du chanteur M.<a href= »/auteur/Mathias-Malzieu/6674″ class= »libelle »>Malzieu</a>.
Ni le sauvetage de la péniche de sa grand-mère décédée sur laquelle officient son père et (entre autres) un zazou ( !), ni son style créatif n’auront permis que je m’accroche à cet opus.
Les « surprisiers » ne m’ont pas amusée, séduite, les musiciens (ou plutôt leurs noms à rallonge) n’ont pas fait titillé ma fibre artistique, moi qui aime pourtant l’imaginaire et son indicible douceur quand ils m’embarquent vers l’au-delà livresque.
Cette fois, je suis restée à quai.