La bête est morte Quand la bête est déchaînée Quand la bête est terrassé…
Résumé éditeur La Seconde Guerre mondiale n’est pas achevée lorsque Victor Dancette, Jacques Zimmermann et Calvo unissent leurs talents pour dénoncer à leur façon ses atrocités. Réalisé en pleine occupation allemande, il est publié dans le troisième mois de la Libération. Ce bestiaire sanglant, qui s’inscrit dans la longue tradition du symbolisme animal, est à l’image de l’époque : féroce et impitoyable. ★★★☆☆ J’ai un peu aimé. Critique En deux volumes, La bête est morte…