Résumé éditeur :
Créatrice de la chaîne YouTube « Solange te parle », Ina Mihalache signe ici son premier récit intime. Une voix littéraire et générationnelle.
DÉSIR DE CHIEN
Ina, jeune trentenaire, peine à vivre au milieu de ses semblables. À l’heure où certaines ressentent un désir d’enfant, elle est envahie par un désir de chien. Elle adopte Truite.
À quelques années d’écart, toutes deux ont quitté l’Amérique du Nord pour une nouvelle vie à Paris. Dans le huis clos de l
Créatrice de la chaîne YouTube « Solange te parle », Ina Mihalache signe aujourd’hui son premier récit intime. Une voix littéraire et générationnelle.
DÉSIR DE CHIEN
Ina, jeune trentenaire, peine à vivre au milieu de ses semblables. À l’heure où certaines ressentent un désir d’enfant, elle est envahie par un désir de chien. Elle adopte Truite.
À quelques années d’écart, toutes deux ont quitté l’Amérique du Nord pour une nouvelle vie à Paris. Dans le huis clos de l’appartement qu’elle partage avec son mari, Anatole, Ina observe Truite. Entre elles, c’est une grande histoire d’amour. Le lien qui les unit est si fort qu’un étonnant jeu de miroir s’opère. Ina s’amuse de leurs points communs comme de leurs différences.
À travers de courtes scènes thématiques, elle raconte ce quotidien. Ce récit est aussi l’occasion pour l’auteure d’explorer plus profondément encore ses sujets de prédilection : l’inadaptation, le féminin, le corps, la séduction, la mort, la confiance en soi.
PRIX GONCOURT DES ANIMAUX 2018 (Prix littéraire 30 Millions d’amis)
★★☆☆☆ Bof ! Je n’ai pas vraiment apprécié ce livre.
Critique :
J’ai lu AUTOPORTRAIT EN CHIENNE de Solange, l’autobiographie d’Ina / Solange et sa chienne Truite qui a su convaincre les jurés du « Goncourt des animaux », le Prix Littéraire 30 Millions d’Amis 2018.
Pourtant c’est plutôt une déception pour moi !
En début d’ouvrage, le récit de ses débuts au Québec ont été fastidieux à suivre – où voulait-elle en venir ? – tant d’infos à la fois dans un tourbillon d’écriture… dur dur… Il y a certes un style particulier, des phrases courtes incisives, mais d’autres plus alambiquées et le tout avec une teneur très autocentrée qui m’a gênée.
Cela a glissé sur moi, la faute au tempo du récit, au manque de contextualisation, au centrage sur l’héroïne plutôt que sur son chien…
Quand j’ai découvert certains membres du jury, j’ai compris ce choix qui assurément n’aurait pas été le mien.
Il ne suffit pas d’aimer les chiens pour apprécier ce texte. En tout cas, en ce qui me concerne.