Les belles choses que porte le ciel de Dinaw Mengestu

Résumé éditeur

« Un homme coincé entre deux mondes vit et meurt seul. Cela fait assez longtemps que je vis ainsi, en suspension. »

Avec ce premier roman brillant et sensible, Dinaw Mengestu, jeune écrivain américain d’origine éthiopienne, s’impose d’emblée comme un auteur majeur. L’exil, le déracinement sont au cœur de ce roman qui révèle un extraordinaire talent d’écriture et une maturité singulière.

Le jeune Sépha a quitté l’Ethiopie dans des circonstances dramatiques. Des années plus tard, dans la banlieue de Washington où il tient une petite épicerie, il tente tant bien que mal de se reconstruire, partageant avec ses deux amis, Africains comme lui, une nostalgie teintée d’amertume qui leur tient lieu d’univers et de repères. Mais l’arrivée dans le quartier d’une jeune femme blanche et de sa petite fille métisse va bouleverser cet équilibre précaire.

★★☆☆☆ Bof ! Je n’ai pas vraiment apprécié ce livre.

Critique

Cette histoire romanesque de réfugiés africains vivant sur le sol américain ne m’a emportée nul part, ni en Afrique, ni aux USA.

Des aller-retours fréquents, un style très dialogué et surtout un immobilisme dans la narration auront eu raison de ma patiente de lectrice.

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