Demain j’arrête de Gilles LEGARDINIER

Résumé éditeur

Au début, c’est à cause de son nom rigolo que Julie s’est intéressée à son nouveau voisin. Mais très vite, il y a eu tout le reste : son charme, son regard, et tout ce qu’il semble cacher… Parce qu’elle veut tout savoir de Ric, Julie va prendre des risques de plus en plus délirants.

★☆☆☆☆ Rien à garder, cette lecture m’a fait perdre mon temps.

Critique

Ça y est je me suis enfin décidée à me lancer dans le genre « chick lit » (genre littéraire utilisé depuis 1996 pour désigner un roman écrit pour le marché féminin, et tout le tralala qui l’accompagne).

Le chat avec son bonnet péruvien me faisait un clin d’œil sur sa couverture rouge, et je voulais comprendre l’engouement
pour cet auteur. Eh bien, en effet, c’est une écriture (oralisée et à la premier personne) tout à fait flatteuse pour la gente féminine. On y retrouve ce à quoi les (jeunes) femmes aspirent le plus (amour, amitié, humour, grain de folie, partage….).

Je ne résumerai pas cette quête amoureuse et le (petit) mystère autour duquel elle s’articule.
C’est gentil, c’est vif et mignon comme les aspirations d’une jeune fille tonique et rigolote qu’on est parfois à vingt ans.
Heureusement, je ne l’ai pas lu mais écouté en Audiolib, en conduisant, et je dis bravo à la formidable lectrice de ce texte qui y a mis toute sa voix et tout son cœur.
C’est elle qui m’a fait tenir. Pas le texte. Pas l’intrigue. Pas le style.
En même temps, je comprends tout à fait le goût pour ce genre littéraire, car comme je le dis souvent, tout est question d’aspiration (du moment). Et moi je n’ai plus 25 ans !

Il en faut pour tous les goûts, mais je ne reviendrai pas piocher de futures lectures chez cet auteur, ça c’est sûr.

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